Visite de la ville

Elle a également posé sa candidature pour les Jeux Olympiques de 2012 et 2016.

Lien utile : l'office de tourisme de Stuttgart

Pour nous rendre à Stuttgart, nous avons toujours utilisé la ligne S2 ou S3 ou la ligne U5 qui nous conduisaient en plein centre de Stuttgart.

A la gare de "S-Bahn" à Leinfelden.	La rame du S2 arrive pour nous conduire à Stuttgart.	Stuttgart est à 20 minutes en "S-Bahn" (le tramway) ou en "U-Bahn" (le métro) de Leinfelden-Echterdingen.

Nous voilà confortablement installés dans le "S-Bahn" !

"Stadtspiel in Stuttgart"

Les professeurs allemands nous avaient préparé un "Stadtspiel", c'est-à-dire une mini-course d'orientation à travers le centre ancien de Stuttgart.

Mme Lerrigo et Mme Griffon nous distribuent les questionnaires et c'est parti !

Il est tôt et il fait très froid !

Le point de départ est au début de la "Königstraße" qui est l'artère principale et piétonne du centre ville de Stuttgart.

Début du "Stadtspiel" : "Das Brezelkörble" Julien : „Wie viel kostet eine Brezel, bitte ?“ Dans cette minuscule baraque, on peut acheter des Brezel qui sont une spécialité allemande incontournable. Dans la partie "Activités", vous pouvez voir comment nous avons nous-mêmes confectionné des Brezels.

"Die Königstraße" (la rue du roi) - Cette rue célèbre avec ses innombrables magasins "Die Königstraße" est la principale artère commerçante de Stuttgart. A l'époque du Moyen-Age, il y avait d'anciens remparts de la ville avec des tombes... En arrière-plan, la tour de la gare principale surmontée de l'étoile de Mercedes-Benz dont les usines sont à Stuttgart.

(1)- "Das neue Schloss" (le Nouveau Château)
(2) - "Die Stiftskirche" (Eglise Collégiale)
(3) - "das Altes Schloss" (le Château Ancien)
(4) - Fontaine se trouvant sur la "Schlossplatz" (la place du Château)

"Die Staatsoper" (l'Opéra National de Stuttgart). Cet opéra jouit d'une renommée mondiale et en 2000, il a été consacré "Opéra de l'Année" pour la 3ème fois consécutive. Il a une capacité de 1399 places assises.

"Das Stadtstheater"  (le Théâtre Municipal). Cette salle de spectacle a été construite entre 1959 et 1962 comme un théâtre moderne sans balcon avec 841 places assises. Elle a accueilli des comédies musicales célèbres comme "Cats" ou bien "Das Phantom der Oper" (le fantôme de l'Opéra).

"Das neue Schloss" C'est un édifice baroque (1746-1806), ancienne résidence des rois du Württemberg qui est aujourd'hui utilisé par certains ministères du gouvernement du Land. Il a été détruit pendant la guerre puis rebâti.

"Der Schlossplatz" (la place du Château) à la fin de notre séjour :

plus de neige et une immense pelouse verdoyante !

Au centre, la colonne commémorative érigée en 1841,
pour fêter le 25ème anniversaire du règne de Wilhelm I.

"Das Parlament" (le Parlement Régional)
Dans ce bâtiment se déroulent les débats politiques du Parlement régional
du Baden-Württenberg comme l'Allemagne est un pays fédéral.

Brrr, qu'il fait froid !

photographe : nicolas Janberg

"Der Fernsehturm" (la Tour de la Télévision). Cette tour de télévision est la 1ère à avoir été construite en béton armé. Sa construction date de 1954-1956. Elle a une hauteur de 217m. C'est la plus haute tour d ‘Allemagne. A 150 m du sol, une corbeille vitrée est occupée par un restaurant et surmontée d'une plate-forme qui offre une vue splendide.

Nous nous sommes rendus en "U-Bahn" (le métro) au Parc Zoologique et Botanique "Wilhelma" que nous avons visité.

L'entrée principale du "Wilhelma" qui montre déjà que ce zoo est différent des autres. Elle est de style mauresque.

C'est Karl-Ludwig von Zanth qui a construit ce zoo en 1850 pour le Roi Wilhelm I. von Württemberg. Du nom du Roi vient le nom de "Wilhelma".

C'était alors un pavillon de jardin avec des bâtiments d'habitation et des serres destinées aux plantes d'ornement dans un style mauresque.

Depuis ce moment-là, on y cultive des plantes. Quelques 5000 espèces végétales y sont abritées.
L'apparence du parc se modifie constamment au fil des saisons.

Un bouquet floral printanier. Il ne manque que son délicieux parfum pour y être !

Nous avons visité le Wilhelma assez tôt dans l'année et les conditions météorologiques étaient assez froides si bien que nous n'avons pas pu savourer le spectacle de la floraison des magnolias qui a lieu habituellement au mois d'avril.

C'est seulement après la guerre que le Wilhelma devient aussi un parc zoologique.

Aujourd'hui, il accueille 10 000 animaux de près de 1000 espèces différentes et compte parmi les zoos allemands qui ont le plus d'espèces et qui offrent un aperçu de toutes les régions climatiques du monde.

L'élevage de singes :

La nursery des bébés gorilles. Avec des couches, s'il vous plait...	Opération "anti-puces".

"D'abord, c'est lui qui a commencé !"	Les gibbons peuvent faire des exercices d'acrobatie dans leur maison.

Un aperçu du continent africain :

Une majestueuse girafe.

On se désaltère en famille.

Version "nature morte"...	...version "nature... vivante" !

La ferme démonstration :

Chèvres et ânes.

Le vivarium :

Un python et sa mue.

L'aquarium :

Cet aquarium d'eau douce et d'eau de mer constitue l'un des moments forts de la viste du Wilhelma.

Un poisson-papillon ou "chelmon".	Récif corallien.

Un poisson-clown.	Une crevette.

Pierre ou poisson ?

La maison de l'Amazonie :

Porteurs de lunettes, attention à la buée ! Dans un climat de jungle où la température atteint 28°C (nous étions si heureux de pouvoir nous réchauffer !!!) et l'humidité 80 %, nous avons découvert la faune et la flore de l'Amazonie.

Découverte sonore de la jungle amazonienne.	Euh... finalement, on est pas si mal chez nous !

Les crocodiles en plein effort !

La serre aux papillons :

Quel délice de voir et de sentir voler autour de nous ces papillons aux ailes extraordinaires !

Le continent arctique :

Des ours polaires sous nos latitudes...

Le repas des otaries.

Le musée Daimler Benz qui retrace l'histoire de la célèbre marque de voitures du même nom se situe à Untertürkheim, un quartier de Stuttgart. Il est ouvert depuis 1923 et accueille près de 450 000 visiteurs par an.

Le musée est implanté sur le terrain de l'immense usine Mercedes.

L'entrée de l'usine.	Pour des raisons de sécurité, nous avons dû emprunter un bus navette qui nous a conduits depuis l'entrée de l'usine jusqu'au musée...

En attendant la navette, nous avons pu découvrir le chantier du nouveau musée Mercedes qui était encore en construction lors de notre visite.	Mais pas de regrets à avoir : encore 429 jours avant l'ouverture du nouveau musée, prévue pour la fin du printemps 2006, c'est-à-dire pour le début de la Coupe du Monde de football.

La maquette du nouveau musée qui, comme on peut le voir, sera à l'extérieur de l'usine, donc accessible plus facilement.	Lors de la visite du musée, une guide nous a appris d'où venait le nom de "Mercedes" ainsi que l'étoile, logo de la marque.

En 1886, Karl BENZ dépose un brevet de voiture à moteur et Gottlieb DAIMLER présente une calèche à moteur.

En 1887, Gottlieb Daimler prend contact avec Emile Levassor, associé à René Panhard, et lui confie la fabrication de son moteur.

Dans le même temps, un homme d'affaires autrichien résidant à Nice, Emile Jellinek, (qui fut surnommé plus tard "Monsieur Mercedes"), s'intéresse beaucoup à l'extraordinaire découverte de Daimler.

En effet, Emile Jellinek, passionné d'automobiles, organise plusieurs courses dans la région de Nice et passe commande à Daimler de plusieurs voitures de course.

La marque :

Le 21 mars 1899, Jellinek court le rallye Nice-Magagnon-Nice au volant de sa voiture de course "Phönix" (vitesse max. 80 km/h).

Il mise tout sur sa voiture Daimler qui prend pour la première fois le départ et la surnomme "Mercedes", le prénom de sa jeune fille âgée de dix ans.

En empruntant le pseudonyme de sa fille, il venait de signer sans le savoir l'acte de naissance d'une marque automobile de réputation internationale.

En 1902, la marque Mercedes est déposée.

Le logo : On voit ici deux des "terrains" que souhaitaient conquérir Daimler et Benz : l'air et la terre. En 1909, l'étoile Mercedes est déposée comme marque. Les trois branches symbolisaient la maxime suivante : "Zu Lande, zu Wasser und in der Luft", c'est-à-dire "sur terre, sur l'eau et dans l'air".

Le musée présente différents modèles de voitures par ordre chronologique.

Les débuts de l'histoire automobile :

Mercedes simplex de 1902, vitesse max. 75 km/h.	Une Mercedes simplex de 1902, vitesse max. 75 km/h.	Le moteur.

Mercedes simplex version "monospace".	Benz Type 20 de 1909, vitesse max. 80 km/h.

1885, la 1 e moto – marque Daimler !

Inutile d'envisager les 24 h du Mans ou le Bol d'Or : Vitesse max. 12 km/h.

Les premières voitures de course :

Mercedes-Benz 300 SL Panamericana.

Mercedes-Benz Formule 1 – voiture de course W 196 R monoplace (V.M. 275 km /h).

En 1954 et 1955, Juan Manuel Fangio a été sacré Champion du Monde au volant de cette voiture.

Des cabriolets de rêve :

Mercedes-Benz 500 K Roadster de 1934.

Mercedes-Benz 150 Sportroadster de 1936. Cette voiture a été fabriquée en seulement 11 exemplaires ! Son moteur était de 1498 cm3 et pouvait atteindre une vitesse max. de 140 km/h.	Mercedes-Benz 300 SL Roadster de 1960. Son prix de l ‘époque approchait les 16 500 Euros. Elle a été produite en 1900 exemplaires. V.M. : 250 km/h.

Des voitures de légende :

La "Papamobile" utilisée de 1964 à 1981 par le Pape Paul VI.	Cette Limousine a appartenu à l'Empereur japonais Hiro-Hito.

Encore du rêve... La 280 SL :

Version cuir rouge...	...version quadrillage.

Voiture de sport :

Un peu voyant comme couleur...

Rallye et Formule 1 :

La Mercedes Sauber C-9 de 1987. Peter Sauber est un constructeur de voitures de course qui a son atelier à Hinwil en Suisse. Mercedes lui a fourni les moteurs, il en pousse certains jusqu'à 925ch, la vitesse max. est de 400 km/h.

La voiture d'Alési !	La Mercedes Mc Laren F1...

...et sa réplique.

On peut s'installer à son volant pour rêver un peu. N'est-ce-pas, Nicolas ?

Les derniers modèles :

Bon, Roxane, arrête de frimer ! On sait bien qu'elles ne sont pas à toi.

Comme si on y était !

Un splendide cabriolet dernier modèle...	...et son prix : si, si, c'est bien ça ! Et en euros, s'il vous plaît ! Pas besoin de traduire, on comprend tout de suite qu'il faudra attendre très longtemps avant de se l'offrir !

Après la visite, nous sommes tous bien chargés...

Certains auraient voulu ramener un modèle plus grand (échelle 1:1 par exemple...), mais nous nous sommes tous rabattus sur le S-Bahn pour rentrer.

Ulm

• L'office de tourisme d'Ulm

Le lundi 14 mars, nous sommes partis en bus pour aller visiter la ville d'Ulm avec nos correspondants allemands et nos professeurs.

Ulm est situé à 90 km au sud-est de Leinfelden-Echterdingen.

Cette ville se trouve à la limite du Baden Württemberg, au bord du Danube.

Ce fleuve est une frontière naturelle puisqu'il sépare Ulm de la ville de Neu Ulm (à droite de la photo) qui est en Bavière.

Ulm est le lieu de naissance du brillant physicien Einstein qui est né le 14 mars 1879.

Quinze mois plus tard, il déménageait avec sa famille à Münich.

Arrivés à Ulm, qui compte 115 238 habitants, nous nous sommes dirigés vers la place principale de la vieille ville.

Sur cette place se dressent la célèbre Cathédrale d'Ulm ("das Ulmer Münster") et son clocher d'une hauteur de 161,60m. Sa construction a débuté en 1377 pour s'achever en 1890 : plus de cinq siècles.

Quelques détails de l'intérieur de la Cathédrale qui est de style gothique.

Elle a été considérablement détruite pendant la 2ème guerre mondiale (une exposition de photos en témoigne à l'intérieur).

"A partir de cette rangée, les bancs sont chauffés pendant l'office".

Après avoir visité l'intérieur de la Cathédrale, nous avons voulu monter tout en haut du clocher. 768 marches conduisent à 143 m de hauteur. Habituellement, les visiteurs peuvent monter jusqu'à 102 m (soit 560 marches).

Malheureusement pour nous, il fait si froid que nous pouvons seulement accéder au premier palier, soit 70 m de hauteur.

("En raison de la glace, on ne peut monter que jusqu'à 70 m").

Il nous faut tout de même monter 392 marches !

Nous sommes déjà fatigués avant de commencer...

Guidés par Mme Lerrigo, nous voilà partis... Claustrophobes sujets au vertige et peu sportifs, s'abstenir !

Ça tourne, ça tourne...	L'escalier étroit de la cathédrale d'Ulm ave le peloton de tête.

Pendant la montée, nous pouvons voir de près (sans le son, ouf !) les cloches de la Cathédrale.

Arrivée à 70m. Nous comprenons mieux maintenant pourquoi il est impossible d'aller plus haut. Prudence pour savourer le panorama !

Vue panoramique sur la ville.	Magnifique vue sur le Danube ("die Donau"). Au 1er plan, Ulm et en arrière-plan, Neu-Ulm.

Notre visite de Ulm s'est poursuivie par une découverte du centre ancien et des bords du Danube.

L'histoire du "spatz" est ancienne :

Pour la construction de la tour du Münster, les habitants ont été confrontés à un problème : ils devaient amener une grande poutre jusqu'à la place de la Cathédrale en la faisant passer par une des portes des remparts qui entouraient la ville alors. La porte était bien sûr trop étroite pour passer la poutre en large, les travailleurs ne savaient plus comment faire.

Ils virent alors un moineau qui construisait son nid. Il eut besoin de glisser une longue paille à travers un petit trou. Pour ceci, il eut l'idée de tourner la paille et de la glisser en long. Voici la solution !

Une maison à colombages du centre ancien.	Le plancher de cette maison n'est pas bien droit. La proximité directe du Danube en est la cause.

Sur les bords du Danube.

"Das Rathaus" - La mairie d'Ulm. Sur sa façade se trouve une fresque qui raconte l'histoire des marchands d'Ulm qui exportaient leurs marchandises grâce au fleuve. Tout autour, les blasons des villes ou des pays qui commerçaient avec Ulm (Paris est sur la gauche).

"Das schiefe Haus - La maison penchée" Le nom suffit... C'est aujourd'hui un hôtel. Le mobilier a été fait sur mesure bien sûr.

Après avoir visité Ulm, nous sommes allés l'après-midi au centre aquatique Atlantis (ce n'est pas la ville sous-marine) qui se situe à Neu-Ulm. Nous sommes donc allés en Bavière. Plus d'infos sur le site officiel. Piscine à vagues, toboggans d'eau et folles rigolades au programme ! Autant dire que nous étions épuisés à la fin de la journée !

Après la baignade, Sarah et Camille dans une "Strandkorb" comme sur la côte baltique.	Les garçons préfèrent les jeux vidéo.

Pour Thorsten et Steven, c'est plutôt "Tournez manèges".